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Ça se confirme
30/08/2008 10:30
L’INC (Institut National de la consommation), après une étude réalisée entre juin 2007 et juin 2008, conclut, ce que le bon sens populaire avait perçu depuis longtemps, que le pouvoir d’achat des ménages était en berne. L’organisme chiffre cette baisse à 0.4 % soit environ 14 Euros (92 Francs).
Malgré la hausse des combustibles et carburants et des produits alimentaires, et malgré la hausse et la multiplication des prélèvements fiscaux obligatoires en tous genre. Malgré, enfin, la hausse constante de la pression fiscale tant nationale (Taxe Télévisuelle) que locale (hausse des taxes), l’INSEE (Institut Nationale de la Statistique et des Etudes Economiques), décidément toujours prompte à complaire aux éminences de Bercy, minimise cette baisse…
Comble de l’optimisme béat ou de la mauvaise foi, l’INSEE prévoit même une hausse de notre pouvoir d’achat de 0.9 %… C’est Mr Sarkozy, président du pouvoir d’achat, qui va être content !
PW
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L'Europe, changeons là !
29/08/2008 19:46
Debout
la République
lance une souscription nationale afin de pouvoir présenter dans toute
la France
des listes républicaines de large rassemblement aux élections européennes de juin 2009.
Euro cher, délocalisations, concurrence déloyale, régression sociale, soumission aux Etats-Unis, mépris du suffrage universel… l’échec des partisans de la supranationalité est flagrant et sans appel.
Seul un projet véritablement Républicain pourra changer l’Europe et bâtir une union durable et légitime entre ses membres. C’est là, tout le sens de notre combat.
Les élections européennes sont le rendez-vous que nous ne pouvons pas manquer. Aidez-nous en participant à cette souscription nationale afin de bâtir l’Europe tant attendue par les peuples : une Europe confédérale, démocratique, indépendante et qui protège ses citoyens, non les intérêts d’une caste de nantis.
Il est encore temps de sauver la belle idée européenne.
Alors arrêtons de subir et reprenons notre destin en main ! Aidez Debout
La République
à changer d’Europe !
Nicolas Dupont Aignan
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Crise du Caucase
29/08/2008 12:58
Après la lecture de divers commentaires « bien pensant » et « convenus » des questions me sont venues. Je les pose donc à tous ceux qui condamnent l’intervention russe en Géorgie !
Les Osètes et les Abkhazes ont ils les mêmes origines que les Géorgiens ? Pour ma part je serai tenté de répondre négativement. En effet, mes maigres connaissances sur le sujet m’indiquent que les origines et l’histoire de ses 3 entités en font des peuples à part entière, trés différents, voir concurrents. Ainsi, les Ossètes établis en Ossétie, petit pays divisé entre
la Russie et
la Géorgie , sont, de par leur origine irano-scythique, un peuple bien à part culturellement, aux antipodes de la cultures géorgiennes. Le territoire des Ossètes se divise en 2 entités :
- L’ Ossétie du Nord est une république autonome incluse dans
la Fédération de Russie depuis 1991, et avant cela, une région autonome de la république soviétique de Russie. Elle compte plus de 65 % d’Ossètes dans sa population. Ceux-ci de par leur statut semble ne pas souffrir de la présence russe.
- L’Ossétie du Sud en revanche a perdue le statut d’autonomie dont elle jouissait du temps de l’URSS, en 1992, devenant une province administrative de
la Géorgie. Cet incorporation forcée ne fut pas toujours du goût des Ossètes qui représentent environ 70 % de la population. Très vite des voix indépendantistes se firent entendre, relayées par l’Ossétie du Nord avec la bénédiction de Moscou. Ces voix exigeaient l’unité et l’indépendance du peuple Ossète. Un référendum fut fait en ce sens en 2006 mis il fut rejeté par Tbilissi.
Pour le peuple Abkhaze, malgré une origine caucasienne commune avec les Géorgiens, on peut également dire qu’ils en sont très différents, de par leur culture, leur langue, leur religion (musulmans dans la grande majorité). Jadis autonome sous l’ère soviétique, le territoire d’Abkhazie fut intégré ipso -facto dans la république géorgienne en 1992. Depuis, les Abkhazes n’ont eu de cesse de revendiquer leur indépendance.
Les Géorgiens enfin, bien que d’origine caucasienne, ne partagent rien de commun avec les Abkhazes, et encore moins avec les Ossètes. Ils parlent le Karthvélien, sont chrétiens orthodoxes et ont une culture influencée par
la Russie , l’ancien maître auquel ils furent soumis prés de 2 siècles. Lors de son indépendance en 1991,
la Géorgie décida unilatéralement de garder les limites territoriales qui lui furent données par l’empire des Soviets, cela, au grand dam des peuples Ossètes et Abkhazes. Je conclu donc qu’aux vues de ce qui vient d’être exposé, ces 3 peuples sont bel et bien différent. Cette différence avérée, vient alors ma seconde question : a t’on le droit d’imposer à 2 peuples qui n’y consentent pas, une vie commune avec un troisième ? Les événement des Balkans dans les années ’90, qui virent la fin de
la Yougoslavie , naquirent des mêmes causes : l’aspiration de peuples à vivre leurs destinées dans l’indépendance. A l’époque, ces aspirations ne choquées personnes. L’Union européenne et les USA approuvèrent et aidèrent dans leur lutte, les peuples Slovènes, Croates et Bosniaques. De là ma troisième question : Pourquoi, aujourd’hui, refuserait –on aux Ossètes et aux Abkhazes ce que l’on accepta hier pour les Croates, Slovènes et Bosniaques, ou encore, dernièrement, aux Kossovars et aux Monténégrins ? Reste le comportement des Russes. Je ne suis pas assez candide pour croire que seule l’idée de protéger les Ossètes des exactions géorgiennes fut leur unique motivation. Non, c’est tout d’abord un vieux réflexe impérialiste qui prédomina leur action. Toutefois, le comportement des géorgiens, que l’on veut nous faire passer pour de pauvres victimes, n’est pas exemptes de reproches. N’oublions pas qu’ils sont à l’origine de ce conflit en réprimant durement par les armes l’Ossétie du sud, mus par ce même réflexe impérialiste et nationaliste. Aussi, le président Saakachvelli est il devenu l’arroseur arrosé ! Enfin, ne perdons pas de vue que si ses évènements eurent lieu, c’est que
la Géorgie se sentait appuyée dans l’ombre par les USA qui désirent étendre leur influence dans le Caucase. Cette ingérence américaine dans la zone d’influence russe ne pouvait pas restée sans réaction de la part de Moscou.
La Georgie , espérant un soutien des américains à jouer et a perdue ! Les USA se contentant des protestations d’usage n’ayant pas osé intervenir militairement dans le Caucase. L’armée géorgienne, en déroute, appris à ses dépens qu’il ne fallait pas se frotter à l’armée russe.
Ce jeu de dupe pourrait prêter à sourire, mais n’oublions pas que ce sont des milliers de pauvres petites gens qui ont payés le prix fort dans cette guerre.
PW
Commentaire de bizarre (29/08/2008 14:40) :
vous reprocher sur votre blog le nationalisme russe et géorgien et vous
prôné dans votre mouvement un nationalisme français au relan de pétainisme
dépassé ! N'y a t'il pas contradiction ?
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Commentaire de DLR1 (29/08/2008 14:58) :
Non, pas de contradictions puisque nous nes sommes pas nationalistes. De
plus c'est plus le côté impérialiste que nje reproche, mais je
n'ai jamais pensé qu'un peuple n'avait pas le droit de
s'auto -déterminer pour une indépendance, ou de se libérer du joug
d'un peuple occupant. La dessus, je n'ai pas du tous apprécié
votre comparaison avec Vichy. C'est une insulte pour les Gaullistes
sincères que nous sommes ! Chez DLR, nous ne sommes pas des fascistes
franchouillards, nous voulons simplement que la France reprenne sa place de
leader qu'elle a perdu dans le concert des nations depuis le départ de
De Gaulle. Nous sommes des résistants à la mondialisation et à l'ultra
-libéralisme que tente de nous imposer une Europe fédérale. Je ne vois pas
là de quoi mériter ce jugement de votre part. A l'avenir, réservez le
au Front National, digne héritier de Pétain et de cette droite Maurasienne.
Nous nous préfèrons rester dans cette droite Gaullienne que certain
qualifie de Bonapartiste, quand bien même, cela ne nous dérange pas,
puisqu'il fut, lui aussi, un grand serviteur de la France.
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Nouvelle ponction fiscale
28/08/2008 17:50
Mr Sarkozy a tranché, il sera créée une nouvelle taxe pour alimenter le nouveau dispositif de retour à l’emploi décidé par Martin Hirsch. Désormais, 1.1% des revenus du capital et du patrimoine seront affectés au budget du RSA, soit 1.3 milliard d’Euros. Notre « grand » chef d’Etat, entend ainsi se donner des airs de gauche sociale. D’ailleurs, le PS, par la voix de son premier secrétaire, approuve la mesure. Pourtant, en optant pour ce nouveau prélèvement sur les revenus du patrimoine et de placements, Mr Sarkozy va provoquer une aggravation du matraquage fiscal imposé aux épargnants et aux retraités qui sont en majorité détenteurs de ce type d’épargne ou de rentes immobilières afin de palier à l’insuffisance de leurs revenus. Sous couvert de taxer le capital, il ne touchera encore une fois que les classes moyennes et les personnes modestes. En effet, les classes aisées, protégées par la loi TEPA dite du « bouclier fiscal » échappe à cette taxe inique. Si Mr Sarkozy avait besoin d’un financement de
la RSA
, il aurait du ponctionner dans le « Paquet fiscal » de 10 milliards d’Euros qu’il a offert à ces nantis. Quand on y pense, qu’est ce donc que cet aumône de 1.3 milliard au regard de ce cadeau fait aux riches ? Une nouvelle fois ce sont les classes moyennes et modestes, forces vives de la nation qui doivent supporter les incohérences politiques de notre « grand »dirigeant.
Prenez garde qu’un jour elles ne disparaissent, et que vous deveniez le président fantoche d’un état du tiers monde ou il n’y aura plus qu’une minorité de riches, et une forte majorité de pauvres …
PW
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Lettre ouverte au Président de la République
26/08/2008 19:31
Monsieur le Président de la République,
Le 18 août, dix de nos courageux soldats trouvaient la mort en Afghanistan. Au moment de leur rendre hommage, vous avez affirmé devant les troupes françaises : « Quand il vous arrive quelque chose, je me sens responsable ». Vous avez eu raison.
Passé le temps du deuil et du recueillement, j’ai voulu vous écrire car vous seul pouvez encore changer de politique en Afghanistan.
Déjà en avril dernier, je vous avais fait part des trois raisons qui m’avaient conduit à voter la motion de censure déposée contre la politique étrangère de votre gouvernement :
Tout d’abord, la situation dans le bourbier afghan me semblait si compromise que l’envoi de soldats supplémentaires ne pouvait l’infléchir ;
Ensuite, l’alignement sans précédent de la France sur les Etats-Unis (avec l’annonce au sommet de Bucarest de l’envoi de soldats supplémentaires comme gage d’allégeance) constituait pour moi le premier pas vers l’inacceptable réintégration complète de la France dans le commandement militaire intégré l’OTAN ;
Enfin, l’extinction de la voix originale de la France accélérait la logique de « choc des civilisation », pour le plus grand bénéfice des intégristes musulmans.
Hélas, ce qui devait arrivé est arrivé, tragiquement : pour la première fois depuis bien longtemps, des soldats français engagés comme supplétifs dans une guerre qui n’est pas la leur et qui est de surcroît conduite en dépit du bons sens, sont morts sans que la Nation sache vraiment pourquoi.
Suite à ce drame, lors de votre discours de Kaboul, vous avez préféré la fuite en avant, transformant la présence française en croisade contre le terrorisme et pour la liberté, au lieu de prendre votre temps et de procéder à l’examen prudent et attentif de la situation en Afghanistan.
Mais comment, quand on connaît cette situation, demander à nos soldats en nombre si limité, mal équipés pour la guérilla et mal coordonnés, de sauver le monde dit libre ?
Comment ne pas ouvrir les yeux sur le fait que cette fuite en avant militaire, diplomatique et politique dont vous voulez vous faire le héros est suicidaire ?
Et où est la cohérence avec vos propos, tenus à la veille du second tour de l’élection présidentielle, où vous considériez que la présence de notre armée à cet endroit du monde n’était « pas décisive » ?
Experts, états-majors et observateurs militaires savent que le conflit actuel n’a rien à voir avec celui de 2001. Preuve en est que loin de lutter contre le terrorisme, la stratégie actuelle de l’OTAN renforce chaque jour un peu plus les Talibans, en faisant basculer la population de leur coté.
Il est urgent Monsieur le Président de reconsidérer votre position. Car seul un changement radical dans la conduite des opérations peut éviter la catastrophe. Seule une perspective politique négociée entre les alliés et les forces afghanes les plus modérées peut sauver ce pays des griffes des plus extrémistes
En avril dernier, la France pouvait être le levier de ce changement en conditionnant l’envoi de ses soldats à la révision de la stratégie américaine. Vous avez manqué l’occasion, préférant plaire à Georges Bush.
Une réaction est encore possible. Notre pays peut peser, d’une part en refusant le redéploiement de ses hommes sur les zones à risque, d’autre part en menaçant de retirer ses troupes si rien ne change.
Oserez-vous ce sursaut ?
En son temps, le Général de Gaulle avait sagement décidé de retirer la France du commandement intégré de l’OTAN car il ne voulait pas voir notre pays entraîné dans une guerre qui ne serait pas la sienne, sous un commandement étranger. Votre triste politique de ces derniers mois lui donne raison puisque pour symboliser le retour complet de la France dans l’OTAN, vous avez placé nos armées dans un guêpier sans issue, avec les conséquences que nous connaissons…
Il savait aussi par-dessus tout que lorsque le sort de ses soldats est en jeu, le Président de la République ne doit obéir qu’à l’intérêt supérieur de son pays, intérêt qui ne coïncide pas toujours avec celui de ses alliés.
Aujourd’hui Monsieur le Président, il vous faut choisir : allez-vous être fidèle à la France ou à l’Amérique ?
Nos compatriotes ne vous pardonneraient pas de préférer trop longtemps la seconde à la première !
Nicolas Dupont-Aignan Député de l’Essonne Président de Debout la République
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